Friday, September 25, 2009

Les librairies : un prélèvement des cultures Parisiennes

La lecture est une partie essentielle de la culture française. Alors, je tombe par hasard sur des librairies pendant que je flâne dans les rues du Quartier Latin ou même quand je vais au supermarché. J’adore lire une grande variété de genres et passer mon temps libre dans les librairies aux Etats-Unis, c’est pourquoi j’avais envie de les explorer à Paris. J’ai découvert différents types de librairies ici –, des grands enseignes comme la FNAC, des magasins de taille moyenne et modernes comme Compagnie, et un petit amour de librairie qui vend des livres en anglais et qui s’appelle Shakespeare & Co. Chaque librairie a sa propre atmosphère caractérisée non seulement par l’organisation du magasin mais aussi par les gens qui les fréquentent.

Au début je visite la FNAC des Halles. Peut-être qu’aux États-Unis elle serait une librairie de taille ordinaire, mais je suis en France depuis quatre semaines, alors ce qui me frappe est l’énormité du magasin ! Tout est nouveau, lumineux, excitant. Je suis à l’aise. Je connais bien cet environnement. C’est l’équivalent français de Borders avec de la musique à l’entrée et puis les rayons de livres rangés par genre. Même les sons me sont familiers. Michael Jackson danse sur 4 écrans géants tout en chantant Black or White, Billy Jean, You are not Alone, et une autre que je ne connais pas. Le blockbuster Twilight joue sur un écran très grand. Les gens dans cette partie sont comme je m’y attendais –, des étudiants, des jeunes et des marginaux, au milieu des adultes habillés en jeans, kakis et tennis de toutes les couleurs.

Je marche sur la moquette grise et je me dirige vers les livres comme une enfant pénétrant dans un magasin de bonbons. Je ris dès que je vois le premier étalage : Le Vin et La Cuisine. Voilà la première différence ! Je continue jusqu’à l’intérieur où personne ne parle sauf les employés. Au rayon de la religion la climatisation ronronne. Aux rayons de littérature français une boîte au plafond bourdonne comme un insecte. Personne ne remarque rien. Chaque personne vit dans un monde à part, il n’y a qu’un seul groupe qui est venu ensemble et ils parlent une langue étrangère. Je passe par le rayon de préparation pour le bac, désert, grâce à la réussite récemment de 86% des étudiants qui l’ont passé.

Ce magasin est une des plus grandes entreprises en France dans le marché des livres et a été crée par deux hommes du parti socialiste. Ils souhaitaient donner accès aux livres aux classes populaires en proposant des livres à des prix abordables. L’idée de démocratiser la culture fait toujours partie de la politique du magasin : c’est évident quand on voit la variété de gens qui lisent et qui se détendent ici. La plupart des personnes dans la librairie sont des professionnels ou des étudiants qui sortent du travail ou qui viennent de faire des achats. Des hommes portent des pulls à col roulé cou. Personne ne se dépêche à part des clients qui, après avoir payé leurs emplettes, quittent le magasin. Au rayon des bandes dessinées on trouve surtout de jeunes hommes, dont certains portent un chapeau un peu extravagant. Ils lisent debout, tout en écoutant la musique sur leurs iPods.

Enfin, j’arrive au rayon de la philosophie et de la poésie où j’avais décidé de parler avec quelqu’un de son expérience ici. Je m’approche d’une très grande femme qui semble avoir vingt-cinq ou trente ans. Elle porte une longue jupe rose d’un style bohème et une chemise grise, décorée avec des fleurs, un peu cachée sous ses cheveux blonds et naturels. Elle sourit quand je lui parle et elle écoute avec attention, mais elle ne veut pas savoir pourquoi je lui pose des questions. Elle me donne des réponses franches, alors je dois être franche pour paraître plus française. La jeune femme vient à la FNAC en particulier parce que le choix est varié. Cette dernière veut seulement acheter des livres durant la visite du magasin qu’elle fait chaque mois. Elle trouve les employés à l’écoute du client : ils sont sympathiques et ils connaissent bien leur travail, mais en revanche, le magasin est un peu impersonnel à cause de sa grande taille. En fait, la FNAC offre un grand choix organisé par thème, mais l’atmosphère intime manque.

Au contraire, la librairie Shakespeare & Co. est une petite enseigne avec une forte personnalité où l’ordre de la FNAC manque. L’odeur des vieux livres entassés partout me rappelle mon enfance. Un lustre poussiéreux est suspendu au plafond au-dessus d’un étalage des seuls nouveaux livres du magasin, composé des best-sellers et de nombreux ouvrages au sujet d’Obama. Le bruit de fond de la sonnette est mélangé avec le klaxonne des voitures dehors. Enfin, c’est moi l’experte qui sais identifier les accents variés de l’anglais des touristes qui passent l’un après l’autre en cherchant les titres obscurcis ou même bien connus. Quelqu’un commence à jouer du piano, doucement, de façon appropriée.


Je flâne juste à côté de lui devant le « rayon » théâtre et je lui dis que c’est très joli, ce qu’il joue. Il s’arrête pour me dire merci et je prends l’opportunité pour lui demander quelques questions. Sam est là parce qu’il aime bien Shakespeare et les vieux livres, il cherche des bouquins de la philosophie et de la fiction expérimentale. Il trouve le magasin bondé, mais dans un bon sens. Il croit que chaque client est également stimulé. Selon lui, c’est un endroit rustique, un lieu où il pourrait habiter. Ça c’est la raison pourquoi ce magasin est tellement connu : l’ambiance c’est comme un appartement où tout le monde peut vivre ensemble et partager une énorme collection « privée ».

Par ailleurs, le dernier magasin que je visite qui s’appelle Compagnie, ressemble à un hôpital, tout en blanc et sans caractère. Il semble que les acheteurs individuels ne bougent pas de leur propre place, également espacés comme des molécules. Je suis la seule dans la grande salle qui ne porte pas des lunettes. Encore une fois, touts les quarantaines portes des pulls à cols roulé, et ceux qui sont plus âgés sont habillés dans des costumes et tailleurs blancs et noirs. Les lèvres sont toutes pincées. Les lumières fluorescentes de chaque rayon brille sans cesse sur les livres blancs et irrite les yeux. Je prends une grande respiration par le nez. Aucune odeur dans l’air. Tout est trop nouveau, trop propre. L’horloge tourne. La climatisation bruisse. J’ai peur de m’approcher de ces clients bourgeois mais je n’ai pas le choix.

Finalement, je demande à une petite femme élégante si je peux la déranger pour une minute ou deux. Elle ne dit rien, mais elle me regarde avec les yeux écarquillés et elle fait un petit signe de la tête. Nous sommes debout dans un couloir, alors d’autres clients passent par là et rentrent dans nous. Je me sens pressée et maladroite et je suis confuse par ses émotions : chaque réponse comprend seulement un ou deux mots accompagnés par un sourire bref. Elle vient ici « souvent ». « Oui », elle l’aime. « Oui », les employés sont très à l’écoute. Qu’est-ce que la dame fait ici ? Elle « flâne et achète… finis ? ». Oui, finis.

Chaque magasin que j’ai visité représente une culture unique. La FNAC est un microcosme de la question globale d’entreprise. Est-ce que la capacité d’offre d’un grand choix bon marché mérite le sacrifice de l’atmosphère et de la propriété locale ? Shakespeare & Co. résume ces qualités, avec l’environnement la plus amical. C’était la seule librairie où j’ai connu les noms des gens avec qui j’ai parlé. Peut être que c’est une différence tout à fait culturelle entre la France et le monde anglophone. Bien sûr, je me sens à l’aise à Shakespeare & Co., mon lieu préféré de Paris. Finalement, selon moi, le dernier magasin que j’ai visité représente la culture des librairies parisiennes même si c’est exagéré. Chaque individuel fait ce qu’il veut en silence. C’est efficace et peut être paisible, mais aussi assez froid. Après cet échantillonnage, je connais très bien qu’il existent plusieurs manières différentes s’approcher les mêmes affaires. Quand même, j’avais remarqué que tous les Français que j’ai rencontré pendant mon séjour à Paris aimaient la littérature. En fait, c’est une grande partie de la culture française.

Orange

J’attendais la dame avec Erika dans un petit magasin dans lequel tout avait l’aire d’être orange. Grâce aux affiches chatoyantes qui couvraient les murs, la salle était brillante sans l’aide des lumières. Je m’asseyais sur un coussin rouge foncé, le seul aspect lugubre dans l’environnement éclaboussé des teints nombreux d’orange. Toutes les publicités me souriaient pendant que mes pieds me faisaient mal. Alors je voulais seulement être dans un espace morne pour qu’ils puissent être en deuil pour l’époque des sandales à la mode en Californie, des « Rainbows ».

Wednesday, August 5, 2009

Des Conclusions


C’était magnifique, mon séjour à Paris. Je suis plus confiant en mon français. Pour la première fois dans ma vie, quand quelqu’un me demande si je parle français, je répond « Oui » au lieu de « Oui, un peu ». « Un peu » était simplement une méthode d’être à l'aise, pour que les Français n’attendre pas que je comprenne tout et que je connaisse tous les mots dont j’ai besoin. Maintenant, j’essaie même si je ne comprends pas tout ce qu’ils disent. Après deux semaines, les Français ont arrêté me répondre en anglais, et finalement, la dernière semaine, j’ai compris tous ce que Romain m’a dit sur la téléphone ! Ca c’est la plus difficile à comprendre parce qu’on ne peux pas voir les lèvres. J’ai passé un week-end à Cherbourg avec Katrina et deux jeunes hommes Français qui ne parlent que le français. La deuxième nuit avec eux, j’ai oublié que je ne parlais pas l’anglais ! J’ai faisais des blagues et j’ai répondu à touts leurs questions sans hésitation. Le plus grand accomplissement est que j’ai compris Allan, qui parle toujours avec un sourire (non avec sa bouche au style typiquement français) et très rapidement. Ce week-end à Cherbourg j’ai appris aussi sur la culture française. Qu’est-ce qui est ce couteau avec la pointe ronde et dentelée ? C’est un couteau pour couper le fromage, bien sûr. Est-ce que je dois manger la salade avant le dîner ou avec du fromage et de la confiture ? En Normandie, on mange la salade avec le « dessert ». Quelles sont les règles pour manger du pain ? Est-ce qu’on le coup ou le déchire ? Les deux sont possible ! Alors, j’ai honte de vivre à Bordeaux où je vais être complètement immergé dans la langue et la culture française comme ça pendant touts les heures du jour.

Thursday, July 23, 2009

Une promenade à vélo inoubliable


Nous embarquons sur une aventure dans la forêt complètement inconnue, avec seulement des vélos et des appareils photos pour faire des mémoires. Au début, le vélo est étrange contre le corps –, un outil encombrant sous les pieds, dans les mains –, et je le conduise en zig-zig en enclenchant des vitesses. Le cliquetis des chaînes fait une symphonie avec le coutil des autres vélos et des exclamations des américaines un peu frustrés mais toujours souriants. Nous traversons la rue déserte et nous nous trouvons dans une zone qui appartient des arbres.

La terre est fertile avec la verdure sauvage, pas organisée comme les autres aspects de la vie française. Le feuillage vif est animé dans le vent qui passe aussi par les cheveux blonds, bruns et noirs des filles du groupe. Je remarque que l’air ici sent plus pur que l’air à Los Angeles, ou même à Paris. J’accélère dans l’odeur de sol humide, des arbustes et de parfum, et le vélo devient plus confortable, plus familier. Je descende une grande colline en dépassant les autres à plein pot ! C’est la première fois que j’avais fait du vélo avec une moto de route au lieu d’un VTT et la différence est incroyable. L’air frais passe rapidement par les joues rouges et une seule larme de chaque œil glisse vers les tempes. Ensuite l’ascension. Les jambes émettent de la chaleur à cause du travail. Valérie acclame « va Justine ! » pendant qu’elle passe devant moi. Merci Valérie. Je continue, je continue… et enfin, le sommet. Je peux remarquer des détailles de l’environnement encore une fois. « Comme elles sont jolies, les fleurs ! » je pense, pendant que j’essuie un peu de sueur du front. « Je pourrais faire cette promenade à vélo chaque jour de ma vie ! »


Sunday, July 19, 2009

Danse Papa, Danse

Il est dans la force de l’âge, ce célibataire qui s’est assis ici devant le supermarché. « Billy Jean » sort de sa chaîne hi-fi à plein volume, percutant les oreilles étonnées. J’imagine qu’il n’avait personne sauf son héros, Michael Jackson, avec qui il pouvait partager sa vie. Sa casquette est verte vive et appartiens aux années quatre-vingts. Son pantalon kaki est court, alors je peux voir ses chaussettes blanches et propres et ses nouveaux tennis. Dès qu’il se dresse, je note que son tee-shirt blanc dit en grands mots noirs « Danse Papa, Danse ». Les cheveux blancs secouent comme il tapote le pied fortement sur les carreaux gris. Son visage sérieux ébauche un petit sourire comme des paroles des chansons résonnent dans le corps et guérissent le cœur qui bat pour « Beat It ».

Le Quatorze Juillet


C’est deux heures est je me suis allongée à Trocadéro sur un drap blanc et sal avec de la confiture, des feuilles et une crotte d’un oiseau que j’évite comme le contact visuel sur le métro. Je viens de dormir un peu sous le soleil brillant, alors les jambes brûlent un petit peu. Je bois de l’eau rafraîchissante en regardant les jeunes français qui sont en train de jouer aux cartes et fumer, bien sûr. Les cheveux bougent dans le vent qui souffle doucement dès que je commence à écrire des cartes postales pour mes amis. Je décris la tranquillité du pique-nique juste à côté de la Tour Eiffel et les événements qui auront lieu ce soir –, le concert de Billy Holiday et les feux d’artifice qui vont lancer de la tour. Puis je dors encore.

Lorsque je réveille, trente minutes plus tard, la police vient pour nous déplacer. Nous restons trop proche de la Tour Eiffel. Ça explique pourquoi tout le monde n’est pas ici dans ce paradis. En fait, presque littéralement, « tout le monde » est assis sur l’herbe devant la tour dans le Champ de Mars. Nous trouvons une place sur la terre pour recommencer notre pique-nique. Alors, nous mangeons des crackers avec du fromage et des crêpes au Nutella très cher. Le Nutella brûle les langues et fait nous déchirer ; ils sont vraiment des larmes de joie.

Friday, July 10, 2009

Mon sauveur : Le chocolat


À sept heures et demi du matin, je suis sortie du métro dans le brouillard du petit matin. J’ai remarqué un petit chat noir qui a couru devant moi et a traversé la rue déserte en cherchant peut-être quelques restes de nourriture pour manger. Le chant des sirènes et des oiseaux qui normalement font partie d’une ville manquait au Quartier Latin. Un seul camion a klaxonné sans cause apparente en faisant une marche arrière dans une rue étroite et vétuste. Quelques verres s’entrechoquaient au loin du seul café ouvert et lumineux, sans personne sauf une vieille femme aux cheveux gris, penchée sur son café léger.

Cette femme vêtue tout en noir avait les cheveux courts, blancs et ébouriffés. Elle frissonnait et faisait des grimaces involontaires. Ses yeux protubérants, sans cils, me regardaient avec méfiance alors que je m’approchais du café. J’étais affamée, alors je me suis assise à la terrasse et j’ai commandé un pain au chocolat et un chocolat chaud. Oh là là ! Le pain au chocolat était sec et s’émiettait comme la peau après un mauvais coup de soleil…

Mais alors, le chocolat chaud arrive. Mon sauveur. Dès que je bois la première petite gorgée, les couleurs du quartier apparaissent. Donc, à huit heures du matin, les habitants du quartier visitent le petit marché en plein air juste à côté du café. Les gens de tous âges qui achètent des légumes frais et des fruits juteux sont habillés dans les tons rouge, vert, bleu et jaune. Les hommes et les femmes traversent rapidement les rues pavées, venant de tous les côtés, en marchant avec résolution, habillés vêtements distingués. Les jeunes hommes qui veulent se faire sérieux, plus adultes, sont en costumes noirs avec des cravates bleues et rouges contre des chemises blanches. Les femmes sont à la mode dans leurs tailleurs gris, leurs talons qui frappent les pavés et leurs foulards en rose clair et vert vif. Avec ma dernière petite gorgée du chocolat épais et chaud encore, je suis plongée dans la grande animation du Quartier Latin.

Poséidon à Paris


Les bottes noires marchent d’un pas vif en traversant les pavés glissant comme si la pluie n’a jamais existé. Les pneus noirs éclaboussent l’eau fraise et naïve sur le vieux trottoir gris foncé. Les parapluies noirs ne connaissent pas la différence entre ces jours sombres et les jours dont les oiseaux gazouillent sous la soleil brillant : ils sont simplement content d’avoir un chargement assez léger aujourd’hui. Dès que le vent siffle la mélodie de la pluie imminente, les 20 Minutes sont abandonnés à lire pour l’utilisation plus pratique et les cartes des touristes deviennent des sacrifices à Poséidon. Dans le Quartier Latin on continue, on continue.

Friday, July 3, 2009

LAX : Le portail du monde intérieur


J’avais beaucoup voyagé pendant ma vie. J’avais chanté à Eurodisney et à Londres. J’avais visité les ruines à Athènes et aux îles grecques, à Pompéi et à Ephese. J’avais fait le tour du monde avec Semester at Sea où j’ai exploré le Japon, la Chine, le Hongkong, le Vietnam, le Cambodge, la Thaïlande, l’Inde, l’Egypte, la Turquie, la Croatie, et l’Espagne. Finalement, j’avais resté chez ma copine en Australie pendant deux semaines. Toutefois, je n’avais jamais habité dans un pays étranger, et je n’avais jamais voyagé toute seule. Alors, parce que j’avais eu ces expériences, j’ai pensé que j’étais prête. Oui, j’étais prête.

Cependant, quand ma tante m’a apporté à l’aéroport, et puis quand elle est sortie sans moi et j’ai dû entrer toute seule, j’étais éblouie par la grandeur gigantesque et l’effervescence de LAX. Les portes vitrées ont brui ouvert devant moi et avec un souffle d’aire climatisée et industrielle, j’ai passé dans le portail du monde interne, débordant des chances de faire la connaissance des étrangers pour enrichir ce monde ! En ce moment-là, je me suis aperçue que je serai toute seule pendant six mois. C’était une vérité fraîche, aigre-douce et de bonne santé. Oui, c’est ça. Mon séjour en France va être un pamplemousse.

Puis, j’ai fais mes premiers pas sur les carreaux grises, poussant mes bagages, qui ont pesés plus que moi-même. Quand j’arrivais dans la queue de British Airways, un homme irlandais m’a demandé si on doit faire la queue avant ou après avoir passé par la sécurité. J’ai dis qu’avant, « bien sûr », mais j’ai commencé immédiatement à douter mon choix ! Qu’est-ce qui était correct ? Alors, je m’ai retourné et j’ai dit à l’homme que je ne suis pas sûr. Grâce à cette communication, nous avons devenues amis et nous avons cherché la réponse ensemble. Nous avions raison, j’avais quelqu’un à parler et j’ai eu plus de confiance parce qu’une adulte vraie a eu la même hésitation que moi. Alors, je ne suis pas seule après tout.