Nous embarquons sur une aventure dans la forêt complètement inconnue, avec seulement des vélos et des appareils photos pour faire des mémoires. Au début, le vélo est étrange contre le corps –, un outil encombrant sous les pieds, dans les mains –, et je le conduise en zig-zig en enclenchant des vitesses. Le cliquetis des chaînes fait une symphonie avec le coutil des autres vélos et des exclamations des américaines un peu frustrés mais toujours souriants. Nous traversons la rue déserte et nous nous trouvons dans une zone qui appartient des arbres.
La terre est fertile avec la verdure sauvage, pas organisée comme les autres aspects de la vie française. Le feuillage vif est animé dans le vent qui passe aussi par les cheveux blonds, bruns et noirs des filles du groupe. Je remarque que l’air ici sent plus pur que l’air à Los Angeles, ou même à Paris. J’accélère dans l’odeur de sol humide, des arbustes et de parfum, et le vélo devient plus confortable, plus familier. Je descende une grande colline en dépassant les autres à plein pot ! C’est la première fois que j’avais fait du vélo avec une moto de route au lieu d’un VTT et la différence est incroyable. L’air frais passe rapidement par les joues rouges et une seule larme de chaque œil glisse vers les tempes. Ensuite l’ascension. Les jambes émettent de la chaleur à cause du travail. Valérie acclame « va Justine ! » pendant qu’elle passe devant moi. Merci Valérie. Je continue, je continue… et enfin, le sommet. Je peux remarquer des détailles de l’environnement encore une fois. « Comme elles sont jolies, les fleurs ! » je pense, pendant que j’essuie un peu de sueur du front. « Je pourrais faire cette promenade à vélo chaque jour de ma vie ! »
Mon ami, j'ai pris cette jolie photo de toi avant que je suis tombee de velo, hilarant!
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